Jeannine Bouthillier
Peinture •
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Peindre pour elle est un acte méditatif, un langage vrai et direct. Depuis la pandémie, l’acte de peindre est devenue une passion et presque une profession.
A l’adolescence, elle découvre la peinture. Par la suite, plusieurs peintres reconnus participent à sa formation : Basque à Rimouski, Marie Cinq-Mars au Centre d’art d’Outremont, Andrée Bonnard à L’atelier du Geste, Antoine Pench au Centre Sandy Broffman, Annie Newnham à l’Université d’Oxford (en Angleterre), Ming Ma, aquarelliste en séjour à Montréal, et Arno Stern à Paris. Fernand Leduc, signataire du Refus Global, qui est devenu un ami, l’a éloigné de la peinture, en un sens, tout en m’inspirant (ce qu’elle découvre aujourd’hui). Plus récemment, le pointillisme s’est imposé non à la manière des peintres autochtones d’Australie, mais de manière plus touffue, plus colorée et sous forme de grand format.
Comme Pierre Gauvreau l’a exprimé et comme Rothko l’a écrit en référence à son œuvre, la peinture est pour e;;e l’expression des émotions. Devant une toile, la création commence chez elle par un geste spontané, déclencheur très libre. Elle ne part jamais d’une esquisse préconçue. C’est la couleur qui est à la fois son guide, son moteur et sa muse. Elle aime la couleur, c’est comme un plat de bonbons devant elle. Elle se fie à l’intuition évitant ainsi de se censurer. Le sens de son tableau et son titre s’imposent une fois terminés.